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UN DISCOURS DE VÉRITÉ QUI PLAIDE EN FAVEUR DU MONDE RURAL, MOUHAMADOU LAMINE DIA, UN CONSEILLER TECHNIQUE AU MAER, QUI MAÎTRISE PARFAITEMENT LE THÈME DE LA TECHNOLOGIE POUR LE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE EN AFRIQUE
UN DISCOURS DE VÉRITÉ QUI PLAIDE EN FAVEUR DU MONDE RURAL, MOUHAMADOU LAMINE DIA, UN CONSEILLER TECHNIQUE AU MAER, QUI MAÎTRISE PARFAITEMENT LE THÈME DE LA TECHNOLOGIE POUR LE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE EN AFRIQUE
《 IL nous faut cependant convenir que, pour nos pays souffrant de la pauvreté et de la faim, les technologies agricoles et le développement rural devraient constituer le fer de lance de ce noble combat…》( Mouhamadou Lamine Dia CT/MAER)
Des discours qui se sont prononcés, ce lundi matin à Dakar, en marge de l’ouverture de la 1ière édition de la foire des technologies de l’Afrique de l’Ouest : Soutenir l’Élan vers la Transformation de l’Agriculture, sous la houlette du conseil ouest et centre africain pour la recherche et le développement agricole (CORAF), de l’IITA et du TAAT, le discours prononcé par le représentant du Professeur Moussa Baldé, Ministre en Charge de l’Agriculture et de l’Équipement Rural (MAER) du Sénégal, a été de haute portée et a édifié les acteurs agricoles et les journalistes de la presse agricole, sénégalaise, africaine et internationale sur le thème : Foire《 aux technologies en Afrique de l’Ouest 》. En effet, il s’agit de Monsieur de Mouhamadou Lamine Dia, Conseiller Technique au MAER, a constaté, le reporter du journal agricole du Sénégal (LEJASENAM/Rondelleplus). Ainsi, entre autre thème principal que Monsieur Mouhamadou Lamine Dia a fait ressortir est : 《 Intégration de la technologie pour le développement agricole 》. Sous ce registre, au cours de l’argumentaire de son discours tout était campé, afin de comprendre à quel angle de traitement pour la presse agricole sénégalaise, africaine et internationale de pourvoir pondre son papier au profit de sa rédaction centrale tellement que tout était clair. 《 L’Afrique avec 16% des pauvres du monde est le continent le plus touché par ce phénomène. Il s’y ajoute que, pas moins de la moitié de sa population vit en dessous du seuil de pauvreté. La pauvreté et la faim ont une forte dimension rurale. Il est en effet établi que 80% des pauvres du monde entier vivent dans les zones rurales. C’est pourquoi, nos propositions d’actions de sortie de crise doivent accorder une attention toute particulière à cette dimension-là. Déjà en 1974 le programme 《 World Food Survery 》 de la FAO déclarait que dans les 10 ans, sur cette terre, aucun homme, aucune femme, aucun enfant n’irait au lit le ventre vide. Les promesses faites au cours des assises ultérieures à savoir par les sommets mondiaux de l’alimentation de 1996 et de 2002, la conférence des Nations Unies sur l’environnement de 1992, n’ayant pas étaient tenues, il urge aujourd’hui, plus que le passé, d’agir plus résolument pour éliminer la faim dans le monde en général et en Afrique en particulier 》. A en croire, Monsieur Mouhamadou Lamine Diallo, en ces termes : 《 Nos assises d’aujourd’hui se voulant une rupture par rapport aux précédentes, nous devons d’abord considérer la pauvreté comme un phénomène multidimensionnel dont les causes sont aussi bien nationales qu’internationales. Il n’existe aucune solution miracle pouvant s’appliquer de façon uniforme à l’échelle mondiale. C’est dans ce sens que les différentes technologies développées à travers l’Afrique et le reste du monde pourraient faire, ici, l’objet de partage et de capitalisation pour éclairer le chemin de nos futurs combats contre la faim. Il nous faut cependant convenir que, pour nos pays souffrant de la pauvreté et de la faim, les technologies agricoles et le développement rural devraient constituer le fer de lance de ce noble combat. Des efforts soutenus doivent être faits pour inverser la tendance du faible niveau des dépenses publiques dans les budgets nationaux et la baisse constante de l’aide publique à la recherche, à l’innovation et au développement des technologies dans l’agriculture ce qui n’est pas compatible avec l’importance du secteur agricole dans les économies nationales 》. Pour rappel, durant cinq (5) jours les acteurs agricoles du MAER, du CORAF, de l’IITA et du TAAT…seront en conclave à Dakar pour parler du thème principal au profit du monde rural agricole africain : 《 Intégration de la technologie pour le développement agricole 》.
Par Amadou Tidiane Sow
Journaliste Communicant Consultant Sur les Questions Agricoles
Le Journal Agricole du Sénégal (LEJASENAM/Rondelleplus)
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